Grâce à notre test, déjouez les risques de cystite ou d’infection vaginale tout au long de l’année.
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Question 1 sur 9
1. Question
De quoi se compose notre flore vaginale ?
Exact
La bonne réponse est un mélange de bactéries, de champignons et de virus : notre flore vaginale se compose de 100 millions à 1 milliard de germes par ml de sécrétions vaginales. Pas très sexy mais ultra efficace, elle assure des missions de lubrification et de protections contre la prolifération des germes.
Inexact
La bonne réponse est un mélange de bactéries, de champignons et de virus : notre flore vaginale se compose de 100 millions à 1 milliard de germes par ml de sécrétions vaginales. Pas très sexy mais ultra efficace, elle assure des missions de lubrification et de protections contre la prolifération des germes.
Question 2 sur 9
2. Question
Comment appelle-t-on les bactéries protectrices du vagin ?
Exact
La bonne réponse est les bacilles de Döderlein. Les bacilles de Döderlein ou lactobacilles, composent 90 à 95% de notre flore vaginale. Elles ont un effet protecteur contre la vaginose. Tant que ces lactobacilles sont en majorité, les autres germes (streptocoques, staphylocoques, candida) restent inoffensifs. Mais si l’équilibre est modifié, ces derniers prolifèrent et entraînent une infection.
Inexact
La bonne réponse est les bacilles de Döderlein. Les bacilles de Döderlein ou lactobacilles, composent 90 à 95% de notre flore vaginale. Elles ont un effet protecteur contre la vaginose. Tant que ces lactobacilles sont en majorité, les autres germes (streptocoques, staphylocoques, candida) restent inoffensifs. Mais si l’équilibre est modifié, ces derniers prolifèrent et entraînent une infection.
Question 3 sur 9
3. Question
De quelle forme d’infection vaginale l’odeur « de poisson pas frais » est-elle caractéristique ?
Exact
La bonne réponse est la vaginose bactérienne. Celle-ci ne provoque pas toujours de symptômes spécifiques, mais dans la moitié des cas environ, les femmes constatent des pertes nauséabondes. La trichonomase, autre infection vaginale, provoque aussi une odeur désagréable, qui évoque plutôt « la pourriture » pour la plupart des spécialistes. Charmant tout plein.
Inexact
La bonne réponse est la vaginose bactérienne. Celle-ci ne provoque pas toujours de symptômes spécifiques, mais dans la moitié des cas environ, les femmes constatent des pertes nauséabondes. La trichonomase, autre infection vaginale, provoque aussi une odeur désagréable, qui évoque plutôt « la pourriture » pour la plupart des spécialistes. Charmant tout plein.
Question 4 sur 9
4. Question
Les traitements antibiotiques peuvent-ils déséquilibrer la flore vaginale ?
Exact
La bonne réponse est vrai. Les antibiotiques agissent sur les mauvaises bactéries, mais aussi sur les « bonnes » qui nous protègent, entraînant un déséquilibre de la flore vaginale qui favorise la prolifération de champignons. Il est conseillé d’associer la prise de probiotiques aux antibiotiques pour éviter ce phénomène.
Inexact
La bonne réponse est vrai. Les antibiotiques agissent sur les mauvaises bactéries, mais aussi sur les « bonnes » qui nous protègent, entraînant un déséquilibre de la flore vaginale qui favorise la prolifération de champignons. Il est conseillé d’associer la prise de probiotiques aux antibiotiques pour éviter ce phénomène.
Question 5 sur 9
5. Question
Est-il possible d’attraper des champignons en se baignant à la piscine ?
Exact
La bonne réponse est faux. Une infection vaginale ne s’attrape pas en se baignant à la piscine, ni en s’asseyant brièvement sur des toilettes publiques. En revanche, les produits antiseptiques contenus dans l’eau peuvent être agressifs pour les muqueuses vaginales et provoquer un déséquilibre.
Inexact
La bonne réponse est faux. Une infection vaginale ne s’attrape pas en se baignant à la piscine, ni en s’asseyant brièvement sur des toilettes publiques. En revanche, les produits antiseptiques contenus dans l’eau peuvent être agressifs pour les muqueuses vaginales et provoquer un déséquilibre.
Question 6 sur 9
6. Question
Que risque-t-on à porter longtemps un maillot de bain humide ?
Exact
La bonne réponse est contracter une infection urinaire ou une mycose. En effet, les bactéries prolifèrent dans les endroits sombres, chauds et humides. Douillettement installées dans votre maillot, elles peuvent alors s’introduire dans le vagin, la vulve voire l’urètre, et provoquer une cystite, une vaginite ou une mycose. Le bon réflexe : enfiler un maillot sec après votre baignade.
Inexact
La bonne réponse est contracter une infection urinaire ou une mycose. En effet, les bactéries prolifèrent dans les endroits sombres, chauds et humides. Douillettement installées dans votre maillot, elles peuvent alors s’introduire dans le vagin, la vulve voire l’urètre, et provoquer une cystite, une vaginite ou une mycose. Le bon réflexe : enfiler un maillot sec après votre baignade.
Question 7 sur 9
7. Question
L’utilisation de déodorants intimes peut-elle favoriser les déséquilibres de la flore ?
Exact
La bonne réponse est vrai. La muqueuse vaginale est très fragile : certains produits peuvent provoquer une allergie, qui entraîne un déséquilibre et favorise l’apparition d’infections vaginales. La simplicité est la meilleure amie de nos vulves et vagins.
Inexact
La bonne réponse est vrai. La muqueuse vaginale est très fragile : certains produits peuvent provoquer une allergie, qui entraîne un déséquilibre et favorise l’apparition d’infections vaginales. La simplicité est la meilleure amie de nos vulves et vagins.
Question 8 sur 9
8. Question
Les fumeuses ont moins de chances que les non-fumeuses de contracter une infection vaginale.
Exact
La bonne réponse est faux. Au contraire, le tabac est un important facteur de déséquilibre de la flore vaginale. Il provoque une baisse du niveau d’œstrogènes dans le sang, ce qui entraîne une chute de la quantité de lactobacilles et favorise l’apparition de vaginoses.
Inexact
La bonne réponse est faux. Au contraire, le tabac est un important facteur de déséquilibre de la flore vaginale. Il provoque une baisse du niveau d’œstrogènes dans le sang, ce qui entraîne une chute de la quantité de lactobacilles et favorise l’apparition de vaginoses.
Question 9 sur 9
9. Question
Rien de tel que le savon de Marseille 100% naturel pour son hygiène intime.
Exact
La bonne réponse est faux. Les savons solides décapent et sont agressifs pour les muqueuses. Au quotidien, mieux vaut choisir des produits étudiés pour le respect de sa flore, comme Saforelle, Hydralin ou Saugella.
Inexact
La bonne réponse est faux. Les savons solides décapent et sont agressifs pour les muqueuses. Au quotidien, mieux vaut choisir des produits étudiés pour le respect de sa flore, comme Saforelle, Hydralin ou Saugella.