Résumé-Quiz
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Questions:
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Informations
Position latérale de sécurité, massage cardiaque… maîtrisez-vous les bases du secourisme ? Testez vos connaissances !
En cas d’accident, d’AVC, de malaise cardiaque… maîtriser les gestes qui sauvent, les bons réflexes à avoir et les erreurs à éviter peut sauver la vie de la victime. Si vous arrivez sur le lieu d’un accident, avant toute chose, assurez-vous d’éliminer les dangers potentiels (flammes, fils électriques, etc.) dans l’environnement avant de vous approcher pour secourir la victime, et appelez les secours au plus vite, chaque seconde compte.
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Vous voici plus au fait des premiers gestes qui sauvent. Si vous souhaitez vous perfectionner, la Croix Rouge organise partout en France des formations aux premiers secours destinées au grand public.
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Question 1 sur 8
1. Question
Face à un bébé qui s’étouffe, quels sont les gestes appropriés ?
Exact
La réponse est : le placer tête en bas sur vos genoux et lui taper dans le dos. Si un enfant a avalé un corps étranger qui obstrue les voies respiratoires, placez-le sans attendre à plat ventre sur votre avant-bras, la tête inclinée vers le sol. Soutenez-bien sa tête et son dos, puis, avec la paume de l’autre main, donnez 4 à 5 tapes vigoureuses entre ses omoplates. Redressez-le doucement et récupérez l’intrus avec délicatesse. Ne triturez pas dans la bouche de votre enfant avec vos doigts, vous risquez d’enfoncer l’objet plus profondément… Si les « claques » ne suffisent pas, réalisez une compression thoracique à l’aide de votre index et votre majeur. Appuyez à la verticale sur son sternum, à la hauteur des tétons, et vérifiez après chaque compression si le corps étranger n’a pas été expulsé. Si au bout de 5 compressions, vous n’avez pas réussi, appelez le 15.
Inexact
La réponse est : le placer tête en bas sur vos genoux et lui taper dans le dos. Si un enfant a avalé un corps étranger qui obstrue les voies respiratoires, placez-le sans attendre à plat ventre sur votre avant-bras, la tête inclinée vers le sol. Soutenez-bien sa tête et son dos, puis, avec la paume de l’autre main, donnez 4 à 5 tapes vigoureuses entre ses omoplates. Redressez-le doucement et récupérez l’intrus avec délicatesse. Ne triturez pas dans la bouche de votre enfant avec vos doigts, vous risquez d’enfoncer l’objet plus profondément… Si les « claques » ne suffisent pas, réalisez une compression thoracique à l’aide de votre index et votre majeur. Appuyez à la verticale sur son sternum, à la hauteur des tétons, et vérifiez après chaque compression si le corps étranger n’a pas été expulsé. Si au bout de 5 compressions, vous n’avez pas réussi, appelez le 15.
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Question 2 sur 8
2. Question
Après un accident ou un malaise, si la victime est consciente, que faut-il lui demander :
Exact
La réponse est : son identité, ses éventuelles allergies ou traitement en cours, l’heure de son dernier repas. Entre votre arrivée et celle des secours, la victime peut devenir inconsciente, et toutes les informations sur son état antérieur à l’accident seront très utiles dans la prise en charge une fois les secours sur place.
Inexact
La réponse est : son identité, ses éventuelles allergies ou traitement en cours, l’heure de son dernier repas. Entre votre arrivée et celle des secours, la victime peut devenir inconsciente, et toutes les informations sur son état antérieur à l’accident seront très utiles dans la prise en charge une fois les secours sur place.
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Question 3 sur 8
3. Question
Face à une personne inconsciente, quel est le bon réflexe à avoir ?
Exact
La réponse est : la placer en position latérale de sécurité. Commencez par libérer ses voies aériennes en plaçant sa tête légèrement en arrière, afin d’éviter que sa langue n’obstrue la gorge, puis, si la personne n’a pas été victime d’un choc, placez-la délicatement sur le côté en position latérale de sécurité, en repliant sa jambe supérieure afin de la stabiliser.
Inexact
La réponse est : la placer en position latérale de sécurité. Commencez par libérer ses voies aériennes en plaçant sa tête légèrement en arrière, afin d’éviter que sa langue n’obstrue la gorge, puis, si la personne n’a pas été victime d’un choc, placez-la délicatement sur le côté en position latérale de sécurité, en repliant sa jambe supérieure afin de la stabiliser.
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Question 4 sur 8
4. Question
Après un accident de deux-roues, faut-il enlever le casque de la victime pour l’aider à respirer ?
Exact
La réponse est non. Le casque doit être enlevé avec d’infinies précaution par du personnel médical formé, de préférence après la pose d’un collier cervical, pour limiter les risques de lésions cervicales. Vous pouvez détacher la jugulaire si la personne a des difficultés à respirer, ouvrir sa visière délicatement, et c’est tout. En attendant les secours, assurez-vous aussi de sécuriser les environs en coupant le contact du deux-roues et en balisant la zone de l’accident pour détourner la circulation.
Inexact
La réponse est non. Le casque doit être enlevé avec d’infinies précaution par du personnel médical formé, de préférence après la pose d’un collier cervical, pour limiter les risques de lésions cervicales. Vous pouvez détacher la jugulaire si la personne a des difficultés à respirer, ouvrir sa visière délicatement, et c’est tout. En attendant les secours, assurez-vous aussi de sécuriser les environs en coupant le contact du deux-roues et en balisant la zone de l’accident pour détourner la circulation.
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Question 5 sur 8
5. Question
Toujours après un accident, en cas d’éjection du véhicule ou de chute (en deux-roues, aux sports d’hiver), faut-il bouger la victime ?
Exact
La réponse est non. Si la personne n’a pas bougé d’elle-même, il ne faut en aucun cas la déplacer avant l’arrivée des secours, sauf si elle est menacée par un risque immédiat (explosion, effondrement, etc.) Pourquoi ? Toutes les blessures ne sont pas apparentes, et le mouvement peut aggraver les lésions, particulièrement au niveau du bassin et de la colonne vertébrale.
Inexact
La réponse est non. Si la personne n’a pas bougé d’elle-même, il ne faut en aucun cas la déplacer avant l’arrivée des secours, sauf si elle est menacée par un risque immédiat (explosion, effondrement, etc.) Pourquoi ? Toutes les blessures ne sont pas apparentes, et le mouvement peut aggraver les lésions, particulièrement au niveau du bassin et de la colonne vertébrale.
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Question 6 sur 8
6. Question
En cas d’arrêt cardiaque, les premières lésions cérébrales apparaissent au bout de trois minutes… Si vous êtes témoin d’un arrêt cardiaque, la première chose à faire est :
Exact
La bonne réponse est :
La bonne réponse est : les 3, dans cet ordre-là. Chaque seconde compte, il est important de garder votre sang-froid. Plus le temps passe, et plus les lésions deviennent irréversibles. Au-delà de 8 minutes, les chances de survie sont presque nulles…
Inexact
La bonne réponse est :
La bonne réponse est : les 3, dans cet ordre-là. Chaque seconde compte, il est important de garder votre sang-froid. Plus le temps passe, et plus les lésions deviennent irréversibles. Au-delà de 8 minutes, les chances de survie sont presque nulles…
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Question 7 sur 8
7. Question
Lorsqu’on pratique le bouche-à-bouche, il faut souffler suffisamment longtemps pour :
Exact
La réponse est : constater le début du soulèvement de la poitrine. En cas d’arrêt de la respiration naturelle, placez la tête de la personne légèrement en arrière, pincez son nez, placez vos lèvres autour de celle du malade pour éviter la déperdition d’air et de pression, et soufflez pendant 2 à 3 secondes jusqu’à constater le début du soulèvement de la poitrine. Attendez que la poitrine s’abaisse à nouveau et recommencez.
Inexact
La réponse est : constater le début du soulèvement de la poitrine. En cas d’arrêt de la respiration naturelle, placez la tête de la personne légèrement en arrière, pincez son nez, placez vos lèvres autour de celle du malade pour éviter la déperdition d’air et de pression, et soufflez pendant 2 à 3 secondes jusqu’à constater le début du soulèvement de la poitrine. Attendez que la poitrine s’abaisse à nouveau et recommencez.
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Question 8 sur 8
8. Question
En l’absence de pouls et de reprise de la respiration naturelle après le bouche à bouche, un massage cardiaque s’impose. Pour réaliser une « bonne » compression thoracique il faut s’installer :
Exact
La réponse est à genoux sur le côté. Installez-vous à genoux au plus près de la personne, pour assurer une bonne stabilité. La zone d’appui se situe entre le creux à la base du cou, et le point de jonction des côtes en bas du sternum. Posez le bas de votre paume sur la zone d’appui, en veillant à être bien positionné sur le sternum et non les côtes, puis placez l’autre main au-dessus en croisant vos doigts. Redressez-vous ensuite à la verticale au-dessus du thorax, les bras bien tendus, et utilisez votre poids pour enfoncer la cage thoracique de 5 à 6 cm, en veillant à maintenir une durée identique entre la compression et le relâchement. Alternez 15 compressions et 2 insufflations de bouche à bouche. Un massage cardiaque bien effectué assure environ 25% du débit cardiaque normal, ce qui maintient le cerveau en vie le temps que les secours professionnels prennent le relais.
Inexact
La réponse est à genoux sur le côté. Installez-vous à genoux au plus près de la personne, pour assurer une bonne stabilité. La zone d’appui se situe entre le creux à la base du cou, et le point de jonction des côtes en bas du sternum. Posez le bas de votre paume sur la zone d’appui, en veillant à être bien positionné sur le sternum et non les côtes, puis placez l’autre main au-dessus en croisant vos doigts. Redressez-vous ensuite à la verticale au-dessus du thorax, les bras bien tendus, et utilisez votre poids pour enfoncer la cage thoracique de 5 à 6 cm, en veillant à maintenir une durée identique entre la compression et le relâchement. Alternez 15 compressions et 2 insufflations de bouche à bouche. Un massage cardiaque bien effectué assure environ 25% du débit cardiaque normal, ce qui maintient le cerveau en vie le temps que les secours professionnels prennent le relais.