Journée mondiale Alzheimer : préservez votre mémoire et votre cerveau naturellement.

Journée mondiale Alzheimer : préservez votre mémoire et votre cerveau naturellement.
Publi-communiqué
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Ce mercredi c'est la Journée mondiale Alzheimer. L'occasion de rappeler l’importance de protéger ses neurones au plus tôt face à cette maladie neurodégénérative.
    « J’ai la mémoire qui flanche, je me souviens plus très bien… » Les trous de mémoire, c’est quelque chose de fréquent. Mais il y a une différence entre un trou de mémoire qui survient occasionnellement et le fait d’avoir, souvent, du mal à prononcer les noms de personnes de son entourage. Si c’est votre cas, ou celui d’une personne de votre famille, il est utile d’essayer de comprendre l’origine du problème, ainsi que les pistes de solution.

Comprendre le fonctionnement du cerveau

Notre cerveau est un organe complexe qui fonctionne comme un ordinateur. Il y a le hardware, le matériel biologique : les neurones ; et le software : le logiciel ou le système d’exploitation permettant de réfléchir, ressentir, bref jouir de toutes nos capacités cognitives. Il s’agit de tous ces neurotransmetteurs qui relient et activent les neurones, permettant de construire des équations mathématiques complexes sur la vitesse de la lumière, ou provoquant cette sensation de sérénité devant un coucher de soleil. La mémoire et les capacités cognitives du cerveau évoluent constamment. C’est la plasticité cérébrale ; l’anatomie même du cerveau (le hardware donc) évolue en fonction de l’environnement dans lequel on vit, précisément en fonction des expériences que l’on vit (plus ou moins d’interactions sociales, plus ou moins de stress, etc) favorisant certains neurotransmetteurs (un type de software). Dans le langage informatique ce serait comme le deep learning, un logiciel s’auto-perfectionne avec l’expérience, les nouveautés, etc. Ainsi avec l’âge, mais surtout avec des mauvaises conditions d’environnement (manque de sommeil) et d’alimentation, le cerveau commence à ralentir, affectant certaines fonctions comme la mémoire à court terme. Autrement dit, un stress chronique, un état de fatigue mentale intense, ou encore une alimentation pauvre en nutriments essentiels, entrainent un vieillissement prématuré des neurones. Et ceci se traduit par un affaiblissement des capacités cognitives, que ce soit la concentration, le langage, ou encore la mémoire. Ainsi, les trous de mémoire, les distractions ou les troubles de l’odorat, sont comme la partie émergée de l’iceberg, ils cachent une détérioration plus ou moins profonde des capacités cognitives.

Comment vieillit le cerveau ?

Notre cerveau est constitué de milliards de cellules nerveuses, les neurones. Avec le temps leur nombre diminue et le cerveau voit ses capacités diminuer. Pertes de mémoire mineures, moments de confusion, perte de l’odorat… sont des manifestations courantes du vieillissement cérébral. 

Quelles sont les causes de la maladie d’Alzheimer ?

Les causes de la maladie d’Alzheimer sont encore loin d’être toutes connues, mais différentes hypothèses ont déjà été mises en évidence comme la découverte des plaques amyloïdes et celle de la dégénérescence neurofibrillaire.

La découverte des plaques amyloïdes

Les dépôts anormaux retrouvés à l’extérieur des neurones ont été identifiés par Alzheimer comme des plaques amyloïdes, agrégats d’une petite protéine, la béta-amyloïde, elle-même issue du clivage de la protéine précurseur de l’amyloïde (APP), une protéine transmembranaire dont la fonction reste obscure bien qu’elle serait impliquée dans le développement du système nerveux périphérique, dans le transport des protéines le long de l’axone des neurones ou dans la formation des synapses. Si bien que la fonction positive du précurseur de l’amyloïde sur la mémoire serait contrariée par un de ses métabolismes, qui aboutit à la production du peptide β-amyloïde. Il n’en reste pas moins que les plaques amyloïdes n’expliquent pas à elles seules la maladie d’Alzheimer. En tout cas, sur les analyses post-mortem de cerveaux malades, il n’a pas été possible d’établir une corrélation entre la sévérité des troubles cognitifs et le nombre de plaques amyloïdes. Les dernières recherches tendent à penser que ce serait plutôt l’accumulation progressive d’oligomères solubles de peptides β-amyloïdes dans le cerveau, au stade précoce de la maladie, qui intoxiquerait les neurones et provoquerait leur mort ; et cette accumulation commencerait bien avant les premiers symptômes, avant les légers troubles de la mémoire, avant la difficulté à trouver ses mots, avant les confusions en rapport avec l’espace et le temps. Tout le monde ne développe pourtant pas la maladie, ou alors personne ne vit assez longtemps pour le savoir. En temps normal et chez la plupart des individus, le cerveau parvient à éliminer les peptides β-amyloïdes grâce au liquide céphalorachidien, mais il arrive un moment où le mécanisme se dérègle et où les plaques se forment et se disséminent dans le cerveau.

La dégénérescence neurofibrillaire

En plus des plaques de peptides β-amyloïdes, Alzheimer a constaté une autre cause lors de l’autopsie, des agrégats à l’intérieur des neurones, des dégénérescences neuronales que la recherche a mis longtemps à identifier comme un dysfonctionnement d’une protéine jusqu’ici inconnue : la protéine Tau. Surtout présente dans les axones des neurones, la fonction principale de cette protéine est d’assurer la cohésion des microtubules qui, associés aux filaments, forment le « système squelettique » de la cellule. Lorsque cette protéine s’enchevêtre pour des raisons encore inconnues – on appelle cela des « enchevêtrements neurofibrillaires » –, les microtubules, dont un des rôles est d’assurer le trafic intracellulaire, se désagrègent, entraînant à sa suite une cascade de problèmes neurologiques. Si les plaques séniles composées de peptides β-amyloïdes sont propres à la maladie d’Alzheimer, les enchevêtrements neurofibrillaires de la protéine Tau se retrouvent dans quantité d’autres maladies neurodégénératives : la paralysie supranucléaire progressive (PSP), la dégénérescence corticobasale (DCB), la maladie de Pick ou bien la maladie de Parkinson. Ces deux phénomènes sont à l’origine de la dégénérescence des neurones. Selon l’hypothèse cholinergique, chez les malades d’Alzheimer il y aurait une dégénérescence des neurones cholinergiques qui sont les neurones responsables de la production d’un neurotransmetteur impliqué dans la mémoire : l’acétylcholine.

Existe-t-il des solutions naturelles ?

Pour maintenir la mémoire tout en protégeant le cerveau, il existe des compléments alimentaires à base de plantes et de vitamines ne présentant pas d’effets secondaires. Le nootropique NSP01 de Neuralia, formulé par des pharmaciens et des neuropharmacologues à partir d’un extrait innovant d’Huperzia serrata,  participe au maintien de la mémoire tout en apportant un effet neuroprotecteur. Cet extrait innovant repose sur trois molécules actives présentes dans l’Huperzia serrata : l’huperzine A, l’acide caféique et l'acide férulique qui agissent en synergie et ont un effet neuroprotecteur. Il contient une haute teneur en principes actifs et vitamines nécessaires à l’activité de notre cerveau et au maintien de la mémoire. Il renferme par ailleurs de la vitamine B12 qui contribue au fonctionnement normal du système nerveux. Ce nootropique est utile aux personnes souhaitant maintenir leur mémoire tout en protégeant leurs neurones, également aux personnes ayant dans leur entourage des gens atteints par la maladie d’ Alzheimer. Si la maladie d’Alzheimer ne se guérit pas encore, les traitements se succèdent pour en soulager les symptômes, et il n’est pas improbable qu’à moyen terme on finisse par en trouver la clé.

Une solution ancestrale 100% naturelle

L’Huperzia serrata est utilisée en médecine traditionnelle du sud-est asiatique pour améliorer la mémoire et traiter les troubles cognitifs. Son principal principe actif, l’huperzine A, prévient la dégradation trop rapide du niveau de l’acétylcholine, un neurotransmetteur indispensable à la mémoire. Il est aussi un antioxydant naturel efficace contre les radicaux libres.

Neuralia est une société provençale qui explore les propriétés pharmacologiques de plantes médicinales. Elle s’intéresse à l’ensemble des principes actifs issus de plantes sélectionnés pour une meilleure efficacité, les effets indésirables en moins. Neuralia est la première gamme de nootropiques personnalisés dédiés à la santé de notre cerveau tout en limitant les effets du temps sur le vieillissement cérébral.
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